1. |
Prélude
02:29
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2. |
Naine blanche
04:24
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I (Feu)
A l'apogée de sa vie l'étoile conclut
Par une implosion finale elle signe un refus
Par voie royale dévoiler son plan sa folie
Un dernier geste improvisé pour feindre l'agonie
Comme vous en avez sans doute déjà déduit
Toute chose qui un jour brille par la suite se ternit
Un dernier coup d'éclat pour finir en beauté
Qui balayera à des lustres toute la voie lactée
Un souffle si puissant
Qu'il détruit sur le champ
Toute vie qui naquit à ses dépends
Car qui donne reprend
Ensuite
Une voix vous donnera la main!
Elle vous mène à de nouveaux chemins!
Car ce monde est un brin de folie!
Dernier souffle belle mélancolie!
Un cerisier lègue au vent le fruit en son sein
Tapissant à fleur de peau le sol du chemin!
Rappelant au pèlerin la raison de son voyage
Qui souvent n'est que pour le temps d'une page
A la fin tout paraîtra de fil en aiguille
Ne vous y méprenez car si au fond elle brille
Sa fission semble devenir incontournable
Son explosion sera donc inévitable
Un souffle si puissant
Qu'il détruit sur le champ,
Toute vie qui naquit à ses dépends
Car qui donne reprend
Ensuite
Une voix vous donnera la main!
Elle vous mène à de nouveaux chemins!
Car ce monde est un brin de folie!
Dernier souffle belle mélancolie!
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3. |
Néant
03:39
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II (Vide)
Évitant cette lourde charge
Et bien celle qui enrage
Perdant cette sournoise raison!
Anéanti de tout flanc
Je refuse d'être perdant
Préférant fuir la bataille!
Me laisseras-tu croire
Que poursuivre pour un soir
Soit salutaire pour nous deux
Ou bien un désaveu!
D'une passion passagère
Défiant l'ennuie cette guerre
Veux-tu être la bienvenue
Dans cette folie qui nous tue!
L’oublier est le plus simple
Un bien drôle de carême
Il n'y a jamais deux sans trois
Ce n'est point un au revoir
Je verrouille ce tiroir
Je me souviens cette fois
Donne des ailes à la neige!
Puissent-elles blanchir le ciel
Aussi douce je ne saurais-je
Oublier cette belle!
D'une passion passagère
Défiant l'ennuie cette guerre
Veux-tu être la bienvenue
Dans cette folie qui nous tue!
L'amour est au plaignant
Ce que poignard reflète
Lame double tranchant
Complainte qui émiette
La lumière naît de l'obscurité!
L'univers en possède toutes les clefs!
Maintenant à qui dois-je passer les dés!
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4. |
Interlude
01:43
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5. |
Fleur de lys
04:19
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III (Terre)
S'il vous arrive de croire
Que tout est sans espoir
Et si la vie vous met à nu
Il n'y a qu'en l'amour que naît salut
Et devoir
Si les jours & les mois
Je peux compter sur toi
Qu'une lueur semble à l’affût
Alors le reste m'importe plus
Mais que toi
Que c'est bon d'être libre ici
Je renais de mes cendres et revis
A quoi bon réfléchir cette fois
L'air est pur & moi roi
Égoïste à mes heures sans doute
Je piétine & j'effleure sur la route
Sans porter attention à elle
L'eau est douce, et si belle
Tout va déjà trop vite
C'est à perdre le rythme
Mais à quoi bon le suivre
J'ai déjà atteint la rive
Et t'y attend (Refrain)
Après coup me revient en tête
Hier soir ivre le cœur à la fête
Un regard une fleur rien de plus
Âme sœur bienvenue
Aujourd'hui je me plais à penser
Que derrière chaque jour et année
Un dessin est tracé d'une main
Et remercie enfin
S'il vous arrive de croire
Que tout est sans espoir
Et si la vie vous met à nu
Il n'y a qu'en l'amour que naît salut
Et devoir
Si les jours & les mois
Je peux compter sur toi
Qu'une lueur semble à l’affût
Alors le reste m'importe plus
Mais que toi
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6. |
L'épave
04:19
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IV - Eau
Une ombre s'éveille en moi ce soir!
Dois-je à tout prix défier ce brouillard?
Il agit à sa guise contre moi
Dépendance agissant telle un poids!
Afin que puisse renaître la lumière!
Sans doute ferez-vous face seul à la mer!
Il vous faudra avoir foi en l'univers!
Seul aux prises avec ce lourd fardeau!
La chaîne m’entraîne sous l'eau!
Où mes cris deviennent plus sourds!
Et le poids de plus en plus ...
L'épave t'amène toujours plus profond!
Elle prend bien soin d’affûter son poison!
Elle sait te séduire tel l'océan
Mais sème en quiconque que le néant!
Afin que puisse renaître la lumière!
Nul doute vous ferez face seul à la mer!
Il vous faudra avoir foi en l'univers!
La mer m’engouffre, dans ses ténèbres, et ses abîmes
Et moi je souffre, de tout mon être, comme un mime....x2
Enfin aurez-vous la force de choisir
Car à vous seul vous ne pourrez en finir
Bien seul est celui qui laisse sa peau
Devient fou quiconque boira de cette eau
Afin que puisse renaître la lumière!
Sans doute ferez-vous face seul à la mer!
Il vous faudra avoir foi en l'univers!
Seul aux prises avec ce lourd fardeau!
La chaîne m’entraîne sous l'eau!
Où mes cris deviennent plus sourds!
Et le poids de plus en plus lourd !
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7. |
Ecclésia
04:23
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V (Vent)
Dans le vent sous le ciel d'une épopée
Où erre la clef de la liberté
Dans ce navire où flottent et naissent vos pensées
Naviguant comme plume et papier
Dans la brise et la douce réalité
Au vol d'oiseaux encore bouleversés
Dans l'océan prisonnière infinité
Le temps me semble s'être écroulé
Ceux voient le ciel
Ne serait-ce qu'un instant
Puissent déployer leurs ailes
Et s'envoler loin sous le vent
Pour ensuite suivre cette mélodie
Qui fuit à l'infini!
Il ne fut qu'une fois
Une lumière qui s'éteint
Une étincelle qui doit
Éclaircir son chemin
Elle vous laisse seul
Plus sensible que jamais
Et sans qu’elle ne le veuille
Consume ses regrets
Tel un cycle sans fin!
Je vois dans vos regards omniprésents
Une flamme un rêve à l’ abri du temps
S'envolant doucement vers les plus hautes mers
Défiant ainsi les plus hautes sphères.
Ceux voient le ciel
Ne serait-ce qu'un instant
Puissent déployer leurs ailes
Et s'envoler loin sous le vent
Pour ensuite suivre cette mélodie
Qui fuit à l'infini!
Il ne fut qu'une fois
Une lumière qui s'éteint
Une étincelle qui doit
Éclaircir son chemin
Elle vous laisse seul
Plus sensible que jamais
Et sans qu’elle ne le veuille
Consume ses regrets
Tel un cycle sans fin!
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